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Pareidolia

Nous avons une fâcheuse tendance à vouloir donner du sens à tout, y compris aux images. Il nous suffit de lever la tête pour croire apercevoir un visage ou la silhouette d'un lapin. C'est ce que l'on appelle la paréidolie (voir l'onglet Principe) d'où vient le nom de notre outil, PAREIDOLIA.

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Il s'agit d'une collection d'images de paréidolie que vous pouvez téléchargez et utilisez librement pour discuter des images, de leur lecture et de leur interprétation, et de l'importance de recon-

naître que celles-ci sont la plupart du temps subjectives.

Ce que je vois n'est pas nécessairement la même chose que ce que l'autre perçoit !

Tout dépend de l'image elle-même, de son cadre (ce qui est montré et ce qui est coupé), de sa qualité, des retouches potentielles... Mais aussi de nos expériences passées et de notre éducation, qui conditionnent ce à quoi nous allons être sensibles ou non. C'est pourquoi il est important de confronter son point de vue à celui d'autres personnes !

Internet regorge d'images. Les photos, les vidéos, les gifs et les memes occupent une grande partie de l'espace sur nos écrans ! On estime que 2 milliards d'images sont publiées tous les jours. Il est tellement normal de les croiser, mais cela signifie-t-il que nous sommes capables de toutes les comprendre et de les lire correctement ?

Photo par Mathieu Rivrin

L'outil PAREIDOLIA a été conçu pour interroger notre rapport aux images et la facilité avec laquelle nous appuyons sur le bouton "Partager" sur tous les réseaux sociaux. En posant la question "Et toi, que penses-tu voir ?", les images Pareidolia invitent à faire appel à ses compétences pour décrire et débattre de ses perceptions (voir l'onglet Applications).

Image de Fabio Tura

Vérone

Du 22 au 24 Septembre 2021, les partenaires du projet se sont rendu·es à Vérone, deuxième ville la plus peuplée de la Vénitie après Venise. Après un petit détour pour admirer les ruines de son amphithéâtre ainsi que la petite cour qui a inspiré à W. Shakespeare la tragédie Roméo et Juliette, nous nous sommes mis·es au travail lors de la première réunion transnationale depuis le lancement du projet.

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